Une chaîne à l'initiative de
09:30 - 10:15
Le manque de lisibilité au niveau national de la politique de l’EAC est en partie liée à une profusion de dispositifs et d’acteurs pouvant intervenir sur des thématiques très variées. Si les communes n’ont pas d’obligation d’investir ce domaine, la plupart d’entre elles veillent à offrir aux enfants et aux jeunes des activités de découverte, voire d’enseignements spécialisés, sur les temps scolaire (recrutement d’intervenants extérieurs par exemple), péri et extrascolaire (accueils de loisirs, ateliers…) ou par le biais des établissements culturels (écoles d’enseignements artistiques, bibliothèques, théâtres, centres d’art…), des MJC ou en lien avec le patrimoine local. Cela représente un effort financier pour les collectivités.
10:15 - 10:45
Elu(e)s, agent(e)s, partenaires, venez tester vos connaissances sur la vie associative au moyen d’un quizz ludique et découvrir des pistes d’actions pour mener votre politique locale de vie associative. L’équipe du Mouvement associatif vous attend ! Au programme : -Des éléments clés sur la vie associative -Des pistes de solutions pour une vie associative renforcée -Des échanges entre pairs Le tout dans un climat convivial.
10:45 - 11:30
En quoi les Jeux Olympiques et Paralympiques sont une opportunité pour faire dialoguer sport et culture ? L'Olympiade culturelle de Paris 2024, un des livrables culturels attendu du pays organisateur des Jeux par le Comité international Olympique (CIO), se présente comme une programmation artistique et culturelle pluridisciplinaire autour du sport : dans quelle mesure la programmation portée depuis 2021 par le ministère de la Culture et ses opérateurs, en liaison étroite avec les collectivités territoriales, a permis de tisser des liens entre le monde culturel et celui du sport ? Quelles initiatives sont envisagées pour valoriser le patrimoine dans les territoires à l’occasion du parcours de la flamme Olympique ? Quel héritage peut-on attendre de cette dynamique engagée entre les mondes du sport et de la culture à moyen et long terme ?
11:30 - 12:40
Dans la dynamique des Jeux Olympiques et Paralympiques, le Président de la République a décrété la promotion de l’Activité Physique et Sportive comme Grande Cause Nationale 2024. La Grande Cause Nationale est le relai sociétal pour porter l’héritage immatériel de ce rendez-vous unique et historique, avec pour objectif d’améliorer l’éducation, la santé, l’inclusion et de rendre notre société plus solidaire.
12:40 - 13:15
Cette conférence vise à présenter la manière dont la résilience est déclinée au sein des territoires, dans le cadre de la stratégie nationale de résilience, en s’appuyant sur les témoignages et expériences d'élus. La résilience territoriale est un concept clé pour faire face aux défis croissants auxquels nos sociétés sont confrontées. Elle relève de la résilience nationale à l’échelle d’un territoire (région, département, intercommunalité, ensemble de communes diverses (bassin, vallées, ...) commune, arrondissement, voire quartier).
13:15 - 14:00
Près de 430 Projets Alimentaires Territoriaux (PAT) sont reconnus par le ministère au 1er avril 2023. Comment se construisent-ils ? Avec quels acteurs ? Quels premiers effets bénéfiques en particulier pour l’approvisionnement des cantines ? Quel accompagnement de l’État ? Quels effets en matière de lutte contre la précarité alimentaire ?
14:00 - 14:30
Sécheresses, canicules, inondations, érosions, submersions, méga-feux, ces événements de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses démontrent les réalités du dérèglement climatique sur l’ensemble des territoires, villes et campagnes. Si des objectifs sont fixés, des trajectoires engagées pour lutter contre le réchauffement climatique et limiter les émissions de gaz à effet de serre (GES), il est acquis qu’il sera difficile de tenir l’objectif de 1,5° ou 2° qui permettait une adaptation limitée et garantissait l’équilibre de nos modes de vie. La réalité et le rythme des transitions nous confrontent aujourd’hui à des trajectoires entre 3° et 4°C d’augmentation de la température de la planète avec des conséquences majeures, des extrêmes climatiques qui percuteront et fragiliseront violemment les organisations humaines d’ores et déjà fragilisées car inadaptées à ces conditions. Face à ces tendances non souhaitables mais de plus en plus inéluctables, qui ne doivent pas occulter l’exigence d’atténuation, la puissance publique se doit de planifier dès aujourd’hui ces scenarii d’adaptation de grande ampleur au cœur desquels les collectivités seront engagées pour organiser l’activité humaine au quotidien dans des contextes extrêmes.
14:30 - 15:00
A Paris, les conséquences du changement climatique prennent la forme de canicules. Ces canicules ont des effets dramatiques sur la santé des Parisiens ainsi que sur la biodiversité. Dans un Paris soumis à des vagues de chaleur pouvant atteindre 50°C, la ville pourrait devenir inhabitable et ses habitants pourraient être obligés de fuir la capitale vers des territoires moins hostiles. Face à ce constat, les élus du conseil de Paris, à travers la Mission d’Information et d’Evaluation « Paris à 50°C », ont produit un rapport alarmant sur l’impact des canicules à Paris. Cette mission transpartisane établit une série de préconisations ambitieuses afin d’adapter Paris, de protéger ses habitants et de faire émerger une véritable biodiversité urbaine. Ses conclusions seront présentées par sa rapporteure Maud Lelièvre et le président de la mission Alexandre Florentin, conseillers de Paris.
15:00 - 16:15
Cette séquence sera l’occasion de dévoiler les propositions portées par l’AMF. D'autres initiatives, d’origines parlementaires ou universitaires ainsi que les interventions de la salle, viendront compléter les pistes de solutions déjà envisagées.
16:15 - 17:15
A partir d’exemples de mutualisation de moyens, de mise en œuvre de solidarités « villes / campagnes » avec les agglomérations, de développement de projets concrets en dehors des périmètres administratifs, il s’agira de montrer que les élus dans les territoires ruraux, n’ont pas attendu pour impulser des dynamiques, en dehors des politiques de contractualisation proposées par l’État, pour ainsi contribuer au développement des territoires fragiles et aux attentes des habitants.
17:15 - 18:00
L’objectif de Zéro Artificialisation Net (ZAN), après de nombreuses discussions et évolutions sur les modalités de mise en œuvre selon les territoires, n’est désormais plus remis en cause dans ses objectifs et finalités. L’exigence de sobriété foncière fait désormais partie des considérations de toutes les communes et intercommunalités dans les stratégies de développement. Les modes de développement territorial, de production de logement, d’activités économiques vont ainsi évoluer pour privilégier les options de rénovation, reconversion, revalorisation de terrains et de bâtis existants. C’est ainsi que vont devoir évoluer les dynamiques territoriales, les documents d’urbanisme et de planification vers davantage d’intensification et non plus d’étalement.